Le sacré est partout. Ou bien il n’est nulle part.
Si la pratique commence et se termine un peu comme un film avec son générique et son clap de fin, alors on ne fait qu’enfiler son costume de pratiquant pour un temps comme on incarne un rôle avant de le quitter pour revenir à ce qui serait « la vraie vie » qui reprend, qui nous attendait pendant qu’on s’en était comme absenté.
En quelque sorte une sorte de parenthèse (enchantée) en fait… … Lire la suite Le sacré est partout. Ou bien il n’est nulle part.