Forme prétexte à la lumière
Mettre le corps dans une forme,
Laisser la forme prendre corps ;
Observer ce qui se transforme
Lorsque s’abandonne tout effort … Lire la suite Forme prétexte à la lumière
Mettre le corps dans une forme,
Laisser la forme prendre corps ;
Observer ce qui se transforme
Lorsque s’abandonne tout effort … Lire la suite Forme prétexte à la lumière
Réjouissons-nous donc des moments dans nos vies où il ne se passe rien – ou du moins ne semble rien se passer –
… Lire la suite Réjouissons-nous !
Et si finalement il n’y avait rien à apprendre ?
Et si finalement on ne faisait toujours qu’apprendre / que prendre ce que l’on sait déjà / ce que l’on a déjà ?
Et si ce que l’on entend n’était jamais vraiment ce qui nous est dit mais juste ce que l’on en entend.
Et si ce que l’on lit n’était jamais vraiment ce qui est écrit mais juste ce que l’on en lit.
Car c’est en fait souvent très différent. … Lire la suite Et si finalement il n’y avait rien à apprendre d’autre que ?
Les exhortations au bien-être et même mieux, au mieux-être lorsque le bien ne suffit plus, laissent à croire que l’être tout court c’est trop court, pas assez, incomplet, qu’il faut lui ajouter, le relever, le bonifier, l’améliorer, pour pouvoir le légitimer.
… Lire la suite Au-delà du mythe d’un capital de soi à développer
Et à chaque instant,
Sur le tapis comme en dehors,
Se laisser être créé.e,
Encore et encore ;
… Lire la suite Se laisser être créé.e
Et si ce qui n’a aucun sens avait tout de même un sens :
celui de nous inviter à abandonner de toujours en chercher. … Lire la suite L’essence cachée du (non-)sens
Bon.
Je vais être franche.
Ça me semble bien.
Voilà. Je n’aime pas mettre en avant sur Facebook les cours et les ateliers de yoga que je propose.
Je n’aime pas ça du tout.
… Lire la suite Avec ou sans la « vitrine magique » de Facebook, qui cherche trouve
Au début des années 20, il y a un siècle déjà, Marcel Mauss, une des grandes figures de l’anthropologie française, publia Essai sur le don * dans lequel, se basant sur son observation des cérémonies de Potlatch dans les sociétés « archaïques » (sic) qu’il étudiait, il développa le phénomène de don / contre-don à l’œuvre dans toute société humaine : le lien social se créant et s’alimentant par ce jeu constant et perpétuel d’interdépendances à travers lequel, ne serait-ce que symboliquement (l’échange n’étant pas forcément matériel mais parfois plus subtil), qui donne est amené à recevoir, qui reçoit est amené à donner, et ainsi de suite.
… Lire la suite Don / réception / contre-don, qui soigne qui ?
Progresser dans sa pratique c’est parfois, plutôt que de chercher à pratiquer de façon plus avancée, plus loin que là jusqu’où on peut aller ou encore dans une variante plus compliquée
… Lire la suite Un progrès tourné vers le présent en-dedans
Il y a cette idée générale – pas qu’en matière de pratique – que les bienfaits seraient proportionnels à la durée, que plus quelque chose dure, meilleur c’est ; ce qui revient en fait non seulement à placer l’attention davantage sur la quantité (de temps) plutôt que sur la qualité (de présence), mais en plus à vivre (pratiquer) de façon conditionnée et projetée : pour ce que l’on va potentiellement en retirer plutôt que juste vivre ce que l’on vit tel que cela est, ainsi allégé.e soi du poids des attentes que l’on fait peser sur cela… … Lire la suite Pourquoi, même si l’un n’empêche pas l’autre, cinq minutes maintenant vaudra toujours mieux qu’une heure demain ? – À propos de l’engagement dans la pratique (oui ce titre est très long et oui cette parenthèse totalement inutile l’allonge encore davantage 🤓)