Être tout et rien à la fois
Nous avons tellement tendance
d’une part à sous-estimer notre influence,
et d’autre part à sur-estimer notre importance. … Lire la suite Être tout et rien à la fois
Nous avons tellement tendance
d’une part à sous-estimer notre influence,
et d’autre part à sur-estimer notre importance. … Lire la suite Être tout et rien à la fois
Est-ce que les grand.e.s musicien.ne.s / peintres / athlètes / philosophes / monastiques (liste non exhaustive) s’enquiquinent (à s’en rendre quasi malades d’agacement) à rabâcher en long, en large et en travers que « la vraie » musique se joue « comme ça », que « la vraie » peinture se peint « comme ça », que « le vrai » sport se pratique « comme ça », que « la vraie » sagesse se pense « comme ça », que « la vraie » prière se vit « comme ça », etcetera ? … Lire la suite Pratiquer par-dessus la jambe ? Vraiment ?
La pratique c’est aussi laisser être ramenés au visible tous les fils invisibles qui relient entre elles chaque partie en une inouïe harmonie chaque fois qu’on l’oublie. … Lire la suite Le mystère des fils invisibles qui nous relient
Ah l’esprit si souvent doué pour créer des bouquets de pensées dont le parfum persiste même lorsqu’elles sont fanées … Lire la suite L’Absolu par essence
Alors d’abord est-ce bien nous qui entrons dans la posture ou bien la posture qui entre en nous ? … Lire la suite Sortir de soi pour rentrer dans une posture ou entrer dans une posture pour rentrer en soi ?
Quelle pression se met-on à soi / met-on à l’autre – le plus souvent sans le vouloir ni même s’en apercevoir – quelle pression (se) met-on à changer, à s’améliorer, à guérir, à se détendre, à se libérer de blocages, à se foutre la paix, à se sentir mieux, en somme à vivre un avant-après gratifiant pour soi et pour l’autre qui nous y accompagne car ce serait pour lui, pour elle le signe qu’il/elle a bien travaillé, répondu aux attentes, ou – lorsqu’il n’y en a pas – amené à l’inespéré ?
… Lire la suite Peut-on se libérer de la pression à se libérer ?
Ce titre n’est pas balancé comme ça sous forme de provocation pour inciter à cliquer, à lire, à réagir.
Ça pourrait, mais ce n’est pas le genre de la maison.
Il est venu comme cela me vient. Aussi sincère que je peux l’être.
Parce que non, le yoga n’est pas épargné par les crises de foi…
Souvent je ne crois plus au yoga.
… Lire la suite Souvent je ne crois plus au yoga
Les exhortations au bien-être et même mieux, au mieux-être lorsque le bien ne suffit plus, laissent à croire que l’être tout court c’est trop court, pas assez, incomplet, qu’il faut lui ajouter, le relever, le bonifier, l’améliorer, pour pouvoir le légitimer.
… Lire la suite Au-delà du mythe d’un capital de soi à développer
Bon.
Je vais être franche.
Ça me semble bien.
Voilà. Je n’aime pas mettre en avant sur Facebook les cours et les ateliers de yoga que je propose.
Je n’aime pas ça du tout.
… Lire la suite Avec ou sans la « vitrine magique » de Facebook, qui cherche trouve
Avec les confinements successifs depuis maintenant plus d’un an, nombreuses sont les salles de yoga à avoir été contraintes à fermer définitivement et nombreux.ses sont les profs à s’être retrouvé.e.s dans une plus ou moins grande précarité.
À l’heure où approche (en France) la reprise des cours « en vrai » (parce que d’après les témoignages que j’ai pu entendre ou lire ici ou là, les cours à distance ça va cinq minutes mais à un moment donné…), il me semble important de soulever l’épineuse question de la professionnalisation du yoga. … Lire la suite L’épineuse question de la professionnalisation du yoga (aïe 😬)