Pratiquer par-dessus la jambe ? Vraiment ?

Est-ce que les grand.e.s musicien.ne.s / peintres / athlètes / philosophes / monastiques (liste non exhaustive) s’enquiquinent (à s’en rendre quasi malades d’agacement) à rabâcher en long, en large et en travers que « la vraie » musique se joue « comme ça », que « la vraie » peinture se peint « comme ça », que « le vrai » sport se pratique « comme ça », que « la vraie » sagesse se pense « comme ça », que « la vraie » prière se vit « comme ça », etcetera ? … Lire la suite Pratiquer par-dessus la jambe ? Vraiment ?

Appel à la Prudence

Dans les milieux des spiritualités donc, il est assez courant de rencontrer des encouragements (si ce n’est des incitations) à la foi, à la confiance – aveugle parfois – en certaines idées, en certaines personnes, qu’ils/elles se présentent comme « maître », « professeur », « guide », « guru », « thérapeute » ou autre. … Lire la suite Appel à la Prudence

Ne pas nuire

On pourrait bien développer d’une infinité de manières possibles sur le sujet, le rattacher à l’actualité, qu’elle soit celle du monde ou celle à notre propre petite échelle qui en soi peut parfois à elle-seule représenter un Himalaya. … Lire la suite Ne pas nuire

Nataraja VS avidya – Nourrir le discernement en dansant

Apasmārapurusa c’est le nain démoniaque, allégorie de l’ignorance (avidya), écrasé sous le pied droit de Shiva sous sa forme Nataraja, c’est-à-dire engagé dans sa danse cosmique (tandava) vouée à préserver l’équilibre du monde qui dépend de la maîtrise de l’ignorance permettant la connaissance. … Lire la suite Nataraja VS avidya – Nourrir le discernement en dansant

La profondeur révélée au cœur de l’insoupçonné

Il n’est pas rare que l’approfondissement soit confondu avec la complexification.
Est-ce parce que la surface visible de l’océan ou l’orée de la forêt paraissent facilement accessibles tandis que leurs profondeurs semblent pleines de mystères qui nécessiteraient une traversée éprouvante pour pouvoir les percer ? … Lire la suite La profondeur révélée au cœur de l’insoupçonné

Le réel se suffit à lui-même – Et s’il n’y avait rien à inventer ?

Sur le tapis comme en dehors, il arrive parfois – voire même souvent – que l’on soit tellement avides de ressentir quelque chose – n’importe quoi pourvu que ce soit quelque chose – qu’on le fabrique.
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